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 - Affrontement félin. [LIBRE]

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Izumi Tetsuya

♠ Hidden heart ♠

Izumi Tetsuya

Messages : 144
Date d'inscription : 04/09/2011
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Localisation : Là où tu n'es pas.

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★ Orientation sexuelle : Hétérosexuelle.
★ Numéro de chambre: 05
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MessageSujet: - Affrontement félin. [LIBRE]   - Affrontement félin. [LIBRE] EmptyMer 28 Mar - 18:17:37

"La folie c'est de croire
qu'en faisant toujours la même chose
on puisse arriver à un résultat différent."

- Music


~ ~ ~

Devons-nous avoir recours à la violence pour avoir la paix ? C'est ce que nous croyons. Ce que nous pensons. Depuis des siècles, dès même le début de notre existence, nous nous battions pour notre survie. Le monde est une guerre interminable à laquelle il n'y aura jamais de vainqueur, même si on se réjouit un moment de ce qu'on pourrait appeler une victoire, au fond nous étions, sommes et serons éternellement perdants, vaincus. Après tout, l'être humain est tel un pantin dans les mains du créateur. Un jouet de plus.

Belle matinée, n'est-ce pas ? Du moins, le temps est plaisant, une boule de feu légèrement cachée par des traces blanches sur un fond turquoise. Cela fait une magnifique fresque vivante que l'on peut contempler toute sa vie.
Je prenais soin de nouer mes couteaux aux ceintures elles-même attachées à mes cuisses et de ranger mes shuriken dans une pochette fixée à une des sangles. Puis je me dirigeais tout droit vers cet amas d'arbres, la forêt, pour me détendre un peu au calme de la foule.

Le vent était frais, la fraicheur des bois s'amplifiait, c'était parfait. Enfin, j'aperçus les premiers feuillus qui me forçait à m'hasarder dans leurs griffes, une invitation qui ne pouvait pas être refusée. Alors, sans retenue, imprudemment, je m'aventurais dans ce décor merveilleux. Ces rayons de soleil qui essayaient inutilement de percer la carapace des feuilles opaques des imposants chênes ou l'agglomération d'épines des grands pins. Après quelques pas dans cet autre monde, je m'arrêtais pour m'allonger sur le sol et observer, admirer mais surtout rêver.

Avoir cette sensation de liberté.
Un des pins sylvestres était immense, sûrement un des plus grands, il me fascinait, on devait avoir une belle vue de là-haut. Je me relevais et ôtais une de mes gaines pour aller vérifier si mon hypothèse était exacte. Alors, en quelques pas je m'élançais vers le monstre avant de sauter sur le tronc, enroulant la ceinture autour de celui-ci pour me hisser jusqu'au sommet. Mon escalade aurait pu être tranquille si je ne me manquais pas de tomber en glissant de l'arbre sur quelques mètres. Le premier réflexe est de regarder vers le bas, c'est à ce moment que vous vous rendez compte de la hauteur démesurée à laquelle vous êtes. Une quinzaine de mètres. Il fallait être fou pour grimper aussi haut sans protection. Et je l'étais.

Quelques instants plus tard, je réussis sans autres problèmes à atteindre la cime, je dominais désormais cet univers. J'avais une vue sur tout le pensionnat, je pouvais même voir la ville de mon perchoir. Je m'asseyais sur une des branches, de préférence une épaisse et je restais là pendant plus d'une heure pour regarder cet unique panorama. Je devais être à environ une vingtaine de mètres du sol. La mort ne tenait qu'à un mauvais pas, une simple chute.

Venu le moment de redescendre sur terre, ma sangle était prête, alors inconsciemment je sautais pour atterrir sur l'écorce de l'arbre tout en ceinturant le pin et glisser en rappel. Je voyais défilé les ramures, l’altitude baissait et le sol se rapprochait tel un ascenseur. Ma vitesse s'accroissait rapidement, trop rapidement.
A une dizaine de pieds du sol, je dégainais brusquement un de mes couteaux pour amortir ma descente en le plantant d'un coup sec au cœur de l'arbre. La lame transperça le tronc qui s'ouvrit en deux semblablement à une plaie dû à la rapidité de ma chute, laissant apparaître une sève jaunâtre, gluante et collante. Le pin saignait, je pouvais l'entendre crier, et pleurer.
J'étais retombée sur mes pieds, sans choc grâce à ma technique d'atterrissage en douceur.

L'après-midi commençait à peine, je rangeais méticuleusement mon arme à sa place spécifique et ligaturait ma gaine, légèrement abîmée, à ma cuisse. Un petit caillou était devant moi, j’eus l'automatisme de tirer dedans pour l'envoyer en direction d'un majestueux buisson épais.
Étrangement, je n'entendis rien à la place de l'habituel bruit du heurt contre la souche. Un son silencieux, bizarre.

Soudainement, un espèce de gros chat sauta hors du buisson, je distinguais là l'allure d'un vieux lynx énervé. Il planta son profond regard dans le mien, engageant ainsi un combat. Alors, sans perdre une seconde, le sourire aux lèvres, je me mettais en position de lutte puisque le duel venait d'ouvrir ses portes...

    - Je t'attends, chuchotais-je à mon adversaire inattendu.


Je me croyais seule, nous nous croyons seuls. Mais étions-nous seulement deux, ici ?

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Axel Storm


Axel Storm

Messages : 191
Date d'inscription : 26/07/2011

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MessageSujet: Re: - Affrontement félin. [LIBRE]   - Affrontement félin. [LIBRE] EmptyJeu 29 Mar - 12:42:55

La ville, la pollution, les gens, le bruit. L'air étouffant remmémorais à Axel que la terre n'auras bientôt plus de place pour chacun de nous.
Pris de nausée en voyant tous ces gens passez sans le moindre regard, le visage vide d'émotion Axel voyait en ces gens comme des gentils petits soldats qui faisaient bien gentiment ce qu'ont leurs demandaient. Sans se rendre compte de la misère de leurs propre situation. Non, ne préférant pas y penser, ils se contentaient d'avancer , le visage vers le sol. Même les gamines qui venaient acheter des CD possédaient des visages à faire pâlir un mort. Ce fut à midi et avec toute la chaleur accumulée que le vase déborda. "Besoin, d'air."

Axel se dirigea vers la pension Kimochi et décida de faire un tour dans la forêt. L'odeur des arbres, la fraicheur que ceux-çi procuraient valait milles centres commerciaux, le bruit de la faune lointaine semblait si proche...
Le géant pris une grande bouffée d'air et se sentis tout de suite mieux. Il commençât à marcher, marcher était la meilleur façon qu'il avait trouvé pour réfléchir depuis qu'il était partis...

Cela faisait combien de temps déjà ? 5 ans à peu près. Cinq années qu'il n'avait pas revus sa famille, ses amis.. L'avait-il regretté ? Il faudrait le lui demander directement et sa réponse risque de ne pas être très clair.
Cinq années à marcher, faire de l'auto-stop ou prendre le train s'il avait de la chance. Il se rappela d'un jour ou il était arrivé dans une grande ville chinoise dont il a oublié le nom.
Cette ville, sont ciel pollué, ses habitants peu commodes et sont taux de délinquance qui semblait hors du commun. Axel n'a jamais eut de réels problèmes avec les petits voyous circulant dans les rue, sont sabre suffit à intimider beaucoup de monde. Mais s'il ne subissait pas, il était spectateur, un jour il tombas sur une jeune lycéenne qui était la seul à l'avoir remarqué, Axel se souvient encore de la première phrase qu'elle lui dit : "Qu'est-ce que tu fait ici ? Tu est perdus ?". Il lui avait répondus que non, qu'ont est pas perdus quand ont à nul par où allez. Cette remarque fit rire la jeune fille qui sent alla peu après en lui disant : " Je sait pas qui tu est mais ce fut un plaisir !". N'ayant pas vus une personne aussi gentille depuis longtemps Axel décida de la suivre. Trois pâté de maison plus tard, elle fut aux prises avec une bande de voyou, en pleine journée, en plein trafic. Personne ne daignais lui venir en aide, même pas les policiers stationné au bout de la rue. C'est vrai qu'ils étaient 4 et armés de couteaux, mais personne pour l'aider ? Partis la centaine de milliers de grains de poussières de cette ville aucun n'osait bouger ? La petite fille était terrorisée et lançait des regards à la foule mais personne ne répondait à sont appel à l'aide. Le sang d'Axel ne fit qu'un tour et il en eut finit avec ces quatre voyous en quelques secondes.

L'action passée, Axel tendis sa main à celle qu'il venait de protéger. Elle se relevât grâce à sont aide et le serrât de toute sa force en murmurant "Merci." Axel regarda sur la droite et vis les policier qui semblaient en train de courir vers leurs direction, la main posée sur leurs armes, apparemment, ils n'avaient pas aimé que quelqu'un fasse leur boulots... Axel fut obligé de partir.

De retour à la réalité Axel sentis la rage bouillonner en lui, il semble que sont dégout de la société n'est pas prêt de partir entre les travailleurs qui ressembles à des légumes et les leurs patrons qui sont les pires prédateurs du règne animal c'est à ce demander s'ils disent vrais quand ils déclarent être des humain...

Soudain, un bruit, léger, comme des brindilles qui se cassent lorsqu’on marche dessus. La télé sur patte décidas d'aller voir l'origine de ce bruit mystérieux. Une fois arrivé il vit une femme, plutôt belle, brune ses cheveux se mariaient étrangement avec les rayon du soleil. Elle semblait faire face à quelque chose, un buisson, la scène était imbibée d'une étrange atmosphère lorsque du buisson jaillit un Lynx, grand pour sa race se qui pouvait sans doute s'expliquer par un age avancé. La brune se mis en position de combat, les poings en avant serrant fort ses couteaux elle dit quelque chose à voix basse : " Je t'attends".

Je t'attend ? Cette fille voulait se battre contre un Lynx quelle venait de croiser juste comme çà ? Sans raison particulière ? C'est ce que Axel était en train de se demander et après quelques secondes pour accepter l'idée que quelqu'un comme çà pouvait exister il se murmura à lui même avec un sourire tellement franc que sa mâchoire inférieure dépassait de sous sont masque : "Intéressant !"

L'apparition de cette inconnue guéri Axel de sa déprime passagère à la vitesse de la lumière, ne voulant pas rater une miette de se combat fort prometteur, il resta derrière sont arbre, épiant le moindre mouvement des deux combattants.
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